الثلاثاء، 9 يناير 2018

A Brief Illustrated Guide To Understanding Islam - English - I. A. Ibrahim

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Event Time Announcer - "THE ETIQUETTE OF SEEKING KNOWLEDGE" - by Dr Bilal Philips

Did Jesus Have Female Breasts?

Women Lightening their

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Invite to God
Women Lightening their
EyeBrows –
Q:The habit of lightening eyebrows has recently spread among women; they lighten the hairs below and above the eyebrow, so that it resembles Nams (removing hair from the face/eyebrows). This habit is an imitation of Western countries. The lightening substance is also medically harmful. What is the ruling of Shari`ah (Islamic law) on this deed? Please advise. May Allah reward you! It is worth mentioning that most women request a written Fatwa (legal opinion issued by a qualified Muslim scholar), and refuse to abide by verbal ones. May Allah make us benefit from it and preserve the religion of this Ummah (nation based on one creed). Indeed, He is the One able to do so. Ans: It is not permissible to lighten above and below the eyebrows in the way that was mentioned, as it entails changing Allah’s creation and resembles Nams which is prohibited, being in the same sense. It is even more prohibited if it entails imitation of non-Muslims, or if it is harmful to the body or hair. This is because Allah (Exalted be He) says: …and do not throw yourselves into destruction The Prophet (peace be upon him) also said: “There should be neither harming nor reciprocating
harm.” May Allah grant us success. May peace and blessings be upon our Prophet Muhammad, his family, and Companions. The Permanent Committee for
Scholarly Research and Ifta’ Member : Salih Al-Fawzan - Member: `Abdullah ibn Ghudayyan - Chairman : `Abdul-`Aziz Al Al- Shaykh

سورة الكهف تلاوة نادرة للشيخ عبدالعزيز الزهرانيLa Caverne - Al-Kahf

La Caverne - Al-Kahf
Au nom de Dieu, le Miséricordieux, le Clément.
[18:1]
Louange à Dieu qui a fait descendre le Livre sur Son serviteur et qui n'y a mis aucune ambiguïté !

[18:2]
Un Livre droit, fait pour avertir qu'une terrible rigueur peut venir de Sa part, pour annoncer aux croyants qui accomplissent les œuvres pies qu'une belle récompense les attend,

[18:3]
[le Paradis] où ils demeureront à jamais,

[18:4]
et pour lancer un avertissement à ceux qui disent : " Dieu s'est donné un fils ! "

[18:5]
Ils n'en savent rien, ni eux ni leurs pères. C'est une parole monstrueuse qui sort de leurs bouches ; ils ne profèrent qu'un mensonge !

[18:6]
Peut-être vas-tu te consumer de chagrin à cause de leur conduite s'ils ne croient pas à ce message.

[18:7]
Ce qui se trouve sur la terre, ce sont les ornements dont Nous l'avons parée afin d'éprouver les hommes et de voir lesquels agissent le mieux ;

[18:8]
puis Nous faisons de ce qui s'y trouve une plaine aride.

[18:9]
Ne penses-tu pas que les Compagnons de la caverne et d'al-Raqîm sont un de Nos signes merveilleux ?

[18:10]
Lorsqu'ils se furent retirés dans la caverne, les jeunes gens s'écrièrent : " Notre Seigneur ! Accorde-nous une miséricorde venue de Toi et assure-nous une conduite droite ".

[18:11]
Dans la caverne, Nous avons frappé leurs oreilles de surdité pour de nombreuses années.

[18:12]
Nous les avons ensuite réveillés pour savoir, parmi les deux groupes qu'ils formaient, lequel avait le mieux compté la durée de leur séjour.

[18:13]
Nous te relatons leur histoire en toute vérité. Ce sont des jeunes gens qui croyaient en leur Seigneur et à qui, en outre, Nous avions donné une bonne guidance.

[18:14]
Nous avions fortifié leurs cœurs, et lorsqu'ils se sont présentés [devant le prince], ils lui ont dit : " Notre Seigneur est le Seigneur des cieux et de la terre. Nous n'implorons aucune divinité en dehors de Lui, sinon nous proférerions une abomination.

[18:15]
Les gens ici présents, qui sont nos concitoyens, ont adopté en dehors de Lui des divinités, pensant qu'elles leur conféreraient un pouvoir indiscutable. Y a-t-il plus inique que celui qui invente un mensonge contre Dieu ?

[18:16]
Lorsque vous vous serez distancés de ces gens et de ce qu'ils adorent en dehors de Dieu, réfugiez-vous dans la caverne ; votre Seigneur répandra alors Sa miséricorde sur vous et Il disposera pour le mieux de votre condition ".

[18:17]
Tu aurais vu le soleil, à son lever, s'écarter de leur caverne vers la droite et, à son coucher, s'en éloigner vers la gauche tandis qu'ils se tenaient dans un endroit spacieux. C'est là un des signes de Dieu ! Celui que Dieu dirige est bien dirigé, mais pour celui qu'Il égare tu ne trouveras personne pour le protéger et le guider.

[18:18]
Tu les aurais crus éveillés, alors qu'ils dormaient et que Nous les retournions tantôt sur la droite et tantôt sur la gauche, tandis que leur chien étendait ses pattes sur le seuil. Si tu étais tombé sur eux à l'improviste, tu t'en serais détourné et aurais pris la fuite, rempli de frayeur à leur vue.

[18:19]
C'est ainsi que Nous les avons réveillés afin qu'ils s'interrogent mutuellement. L'un d'entre eux demanda : " Combien de temps êtes-vous restés ici ? " Certains répondirent : " Nous sommes restés un jour, ou une partie d'un jour ". D'autres dirent : " Votre Seigneur sait mieux combien de temps vous êtes restés ici. Envoyez donc l'un de vous à la ville avec la monnaie que voici pour qu'il recherche l'aliment le plus pur et vous en rapporte quelque provision. Qu'il se comporte avec courtoisie et ne donne l'éveil à personne concernant votre présence.

[18:20]
Si ces gens vous découvraient, ils vous lapideraient, ou ils vous feraient revenir à leur religion et vous ne pourriez plus jamais être heureux ".

[18:21]
C'est ainsi que Nous avons divulgué leur histoire pour que les gens sachent que la promesse de Dieu est véridique et qu'il n'y a aucun doute en ce qui concerne l'Heure. Alors que ces gens se disputaient à leur sujet, certains dirent : " Construisez un édifice au-dessus d'eux. Leur Seigneur sait tout à leur sujet ". Ceux dont l'avis prévalut dirent : " Nous élèverons au-dessus d'eux un sanctuaire ".

[18:22]
Les uns diront : " Ils étaient trois, et leur chien le quatrième ". D'autres diront, cherchant à percer le mystère : " Ils étaient cinq et leur chien le sixième ". D'autres encore diront : " Ils étaient sept, et leur chien le huitième ". Dis : " Mon Seigneur connaît leur nombre mieux que quiconque, mais peu le connaissent ". N'entre donc pas en discussion à leur sujet, si ce n'est sur quelque aspect formel, et ne demande sur cette question l'avis d'aucun d'entre eux.

[18:23]
Et ne dis jamais, à propos d'une chose : " Je la ferai demain ",

[18:24]
sans ajouter : " Si Dieu le veut ! " Si tu as oublié, invoque ton Seigneur et dis : " Puisse mon Seigneur me guider plus près de ce qui est juste ! "

[18:25]
Ils restèrent dans leur caverne trois cents ans auxquels neuf ont été ajoutés.

[18:26]
Dis : " Dieu sait le mieux combien de temps ils sont restés. C'est à Lui qu'appartient le mystère des cieux et de la terre. Vois et entends par Lui ! Ils n'ont pas de protecteur en dehors de Lui, et Lui-même n'associe personne à Sa juridiction. "

[18:27]
Récite ce qui t'a été révélé du Livre de ton Seigneur sans rien changer de Ses paroles, car tu ne trouverais pas de refuge en dehors de Lui.

[18:28]
Prends patience en compagnie de ceux qui invoquent leur Seigneur matin et soir en désirant Sa Face. Ne les lâche pas des yeux pour rechercher les attraits de la vie de ce monde. N'obéis pas à celui dont Nous avons rendu le cœur insouciant envers Notre Rappel, qui se laisse mener par ses passions et dont la conduite est débridée.

[18:29]
Dis : " La Vérité vient de votre Seigneur. Que celui qui le veut, croie, et que celui qui le veut, mécroie ". Certes, Nous avons préparé pour les iniques un Feu dont les flammes les encercleront. S'ils appellent à l'aide, on leur versera une eau ardente comme le métal fondu, qui leur brûlera le visage. Quelle détestable breuvage et quel abominable séjour !

[18:30]
En vérité ceux qui ont cru et qui ont accompli des œuvres pies verront que Nous ne laissons pas perdre la récompense de celui qui fait le bien.

[18:31]
A ceux-là sont destinés les jardins d'Eden sous lesquels coulent les fleuves. Ils s'y pareront de bracelets d'or, se vêtiront d'habits verts en soie et en brocart, et s'accouderont sur des lits d'apparat. Quelle belle récompense et quel magnifique séjour !

[18:32]
Propose-leur la parabole de deux hommes : à l'un d'eux, Nous avions donné deux jardins de vigne que Nous avions entourés de palmiers et séparés par des champs cultivés.

[18:33]
Les deux jardins donnaient leur récolte sans que rien n'y manquât, et Nous fîmes aussi couler au milieu d'eux une rivière.

[18:34]
Un des hommes fit sa récolte et dit alors à son compagnon, avec qui il conversait : " Je suis plus riche que toi et mon entourage est plus nombreux ! "

[18:35]
Il entra dans son jardin, se faisant tort à lui-même, et dit : " Je ne pense pas que ceci périsse jamais.

[18:36]
Je ne pense pas que l'Heure survienne, et si je devais être ramené vers mon Seigneur, je trouverais en échange un jardin meilleur que celui-ci ".

[18:37]
Son compagnon, avec lequel il conversait, lui dit : " Serais-tu ingrat envers Celui qui t'a créé de poussière, puis de sperme et qui, ensuite, t'a donné forme humaine ?

[18:38]
Mais pour moi Il est Dieu, mon Seigneur, et je n'associe personne à mon Seigneur.

[18:39]
Que n'as-tu pas dit en entrant dans ton jardin : " Ainsi Dieu l'a voulu ! Il n'y a de force qu'en Dieu ! " Si tu me vois moins pourvu que toi en biens et en enfants,

[18:40]
il se peut que mon Seigneur me donne quelque chose de meilleur que ton jardin et qu'Il envoie sur celui-ci, du haut du ciel, une flèche qui le transformera en un coteau dénudé ;

[18:41]
ou que l'eau qui l'arrose disparaisse sous la terre sans que tu puisses la retrouver ".

[18:42]
Sa récolte fut détruite, et le matin suivant il se tordait les mains en songeant aux dépenses qu'il avait faites pour sa vigne. La voici qui pendait sur ses échalas, dépouillée de ses fruits. " Malheur à moi !, s'écriait-il, jamais je n'aurais dû associer quiconque à mon Seigneur ! "

[18:43]
Il n'y avait aucune troupe qui puisse le secourir contre Dieu et il ne fut point secouru.

[18:44]
En pareil cas, la protection n'appartient qu'à Dieu, la Vérité : c'est Lui qui peut le mieux récompenser et donner la meilleure issue.

[18:45]
Propose-leur la parabole de la vie de ce monde : elle est semblable à une eau que Nous faisons descendre du ciel. Les plantes de la terre l'absorbent, mais le lendemain elles deviennent de la paille que le vent disperse. Dieu possède le pouvoir sur toute chose.

[18:46]
Les richesses et les enfants sont la parure de la vie de ce monde. Mais les bonnes œuvres durables recevront auprès de ton Seigneur une récompense meilleure et elles suscitent une meilleure espérance.

[18:47]
Un jour, Nous ferons mouvoir les montagnes, tu verras la terre nivelée comme une plaine, et Nous rassemblerons tous les hommes sans en laisser un seul.

[18:48]
Ils seront présentés en rangs devant ton Seigneur : " Vous voilà venus à Nous comme Nous vous avons créés une première fois. Et pourtant, vous pensiez que Nous ne vous fixions pas de rendez-vous ! "

[18:49]
Le Livre sera posé devant eux, et tu verras alors les coupables s'effrayer au sujet de ce qu'il contient. Ils diront : " Malheur à nous ! Quel est donc ce livre qui ne laisse aucune chose, petite ou grande, sans la compter ? ". Ils trouveront, présent devant eux, tout ce qu'ils auront fait. Ton Seigneur ne lèsera personne.

[18:50]
Lorsque Nous avons dit aux anges : " Prosternez-vous devant Adam ! " ils se prosternèrent, à l'exception d'Iblis qui était au nombre des djinns et qui se révolta contre l'ordre de son Seigneur. Le prendrez-vous, lui et sa descendance, comme protecteurs en dehors de Moi, alors qu'ils sont vos ennemis ? Quel mauvais échange pour les iniques !

[18:51]
Je ne les ai pas pris à témoins lors de la création des cieux et de la terre, ni lors de leur propre création, et Je n'ai pas pris comme aides ceux qui égarent les hommes.

[18:52]
Le Jour où Il dira : " Appelez ceux que vous prétendiez être Mes associés ! ", ils les appelleront, mais ceux-ci ne leur répondront pas car Nous les aurons séparés par une vallée de perdition.

[18:53]
Les criminels verront le Feu ; ils penseront y tomber et ils ne trouveront aucun moyen d'y échapper.

[18:54]
Nous avons vraiment adressé aux hommes toutes sortes d'exemples dans ce Coran, mais l'homme est le plus querelleur des êtres.

[18:55]
Les hommes n'ont été empêchés de croire, lorsque la Guidance leur est parvenue, et de demander pardon à leur Seigneur que par leur insistance à vouloir subir le sort réservé aux Anciens ou à vouloir que le châtiment les atteigne de plein fouet.

[18:56]
Nous ne dépêchons les envoyés que comme annonciateurs de bonne nouvelle et avertisseurs. Les mécréants usent d'arguments faux pour rejeter la Vérité. Ils prennent Mes signes et ce dont ils ont été avertis comme objets de raillerie.

[18:57]
Qui donc est plus inique que celui qui, après que les signes de son Seigneur lui ont été rappelés, s'en est détourné et a oublié ce que ses propres mains avaient accompli ? C'est Nous qui avons placé sur leurs cœurs des enveloppes afin qu'ils n'en saisissent pas le sens, et Nous avons mis dans leurs oreilles une surdité. Même si tu les appelles dans la bonne direction, jamais ils ne la suivront.

[18:58]
Ton Seigneur est Celui qui pardonne, le Maître de la miséricorde. S'Il leur tenait rigueur pour ce qu'ils ont accompli, Il hâterait leur châtiment ; mais il leur a été fixé un terme auquel nul ne peut échapper.

[18:59]
Ces cités Nous les avons détruites lorsqu'elles sont tombées dans l'impiété et Nous avions fixé un terme pour leur anéantissement.

[18:60]
Moïse dit un jour à son jeune servant : " Je n'aurai de cesse que je n'aie atteint le confluent des deux mers, dussé-je marcher durant quatre-vingts ans ou plus ".

[18:61]
Cependant, lorsqu'ils eurent atteint le confluent des deux mers, ils oublièrent leur poisson qui reprit librement son chemin dans la mer.

[18:62]
Lorsqu'ils eurent dépassé cet endroit, Moïse dit à son servant : " Apporte-nous notre repas, car nous avons éprouvé de la fatigue durant ce voyage ".

[18:63]
" As-tu remarqué, dit le servant, que lorsque nous nous sommes abrités contre le rocher j'ai oublié le poisson ? Seul le Démon a pu me faire oublier de le mentionner. Il a pris son chemin vers la mer miraculeusement ! "

[18:64]
Moïse dit : " C'est bien là ce que nous cherchions ! " et ils revinrent sur leurs pas avec précision.

[18:65]
Ils trouvèrent alors un de Nos serviteurs, que Nous avions gratifié de Notre Miséricorde et que Nous avions éclairé de Notre Science.

[18:66]
Moïse lui dit : " Puis-je te suivre pour que tu m'enseignes ce qu'on t'a appris concernant le chemin droit ? "

[18:67]
Il répondit : " Tu ne pourras sûrement pas être patient avec moi.

[18:68]
Comment pourrais-tu rester patient devant des choses dont tu ne saisiras pas le sens ? "

[18:69]
Moïse dit : " Tu me trouveras patient, si Dieu le veut, et je ne désobéirai pas à tes ordres ".

[18:70]
Le Serviteur dit : " Si tu m'accompagnes, ne m'interroge pas sur une chose avant que je t'en informe moi-même ".

[18:71]
Ils partirent tous deux et montèrent sur un bateau, dans lequel le Serviteur pratiqua une voie d'eau. Moïse lui dit : " As-tu pratiqué cette voie d'eau pour noyer les occupants ? Tu as commis là une chose bien étrange ".

[18:72]
Il répondit : " Ne t'avais-je pas dit que tu ne saurais être patient avec moi ? "

[18:73]
Moïse dit : " Ne me tiens pas rigueur pour mon oubli et ne m'impose pas une chose trop difficile ! "

[18:74]
Ils repartirent tous deux jusqu'à ce qu'ils rencontrent un jeune homme. Le Serviteur le tua. Moïse dit : " N'as-tu pas tué un homme qui était innocent de tout meurtre ? Tu as commis là une chose blâmable ! "

[18:75]
Le Serviteur dit : " Ne t'avais-je pas dit que tu ne saurais être patient avec moi ? "

[18:76]
Moïse dit : " Si je t'interroge encore sur quoi que ce soit, ne m'accepte plus comme compagnon ; maintenant, tu as reçu mes excuses ".

[18:77]
Ils repartirent tous deux jusqu'à ce qu'ils arrivent chez les habitants d'une cité auxquels ils demandèrent à manger ; mais ceux-ci leur refusèrent l'hospitalité. Ils trouvèrent alors un mur de la ville qui menaçait de s'écrouler. Le Serviteur le releva. Moïse lui dit : " Si tu voulais, tu pourrais obtenir un salaire pour cela ".

[18:78]
Le Serviteur dit : " C'est là que nous nous séparons. Je vais te donner l'explication des choses qui t'ont fait perdre patience.

[18:79]
En ce qui concerne le bateau, il appartenait à de pauvres gens qui travaillaient sur la mer. J'ai voulu l'endommager, parce que derrière eux venait un roi qui s'emparait par force de tous les bateaux.

[18:80]
Quant au jeune homme, il avait pour père et mère deux croyants. Or, nous avons craint qu'il ne les contraigne à la rébellion et à la mécréance,

[18:81]
et nous avons voulu que leur Seigneur leur donne en échange un fils meilleur que lui, plus pur et plus digne d'affection.

[18:82]
Quant au mur, il appartient à deux jeunes orphelins de la ville. Sous ce mur se trouve un trésor qui doit leur revenir. Leur père était un homme juste, et ton Seigneur a voulu qu'à leur majorité ils découvrent leur trésor comme une miséricorde de la part de ton Seigneur. Je n'ai pas fait tout cela de ma propre initiative. Telle est l'explication de ce qui t'a fait perdre patience ! "

[18:83]
Ils t'interrogent au sujet de Dhou al-Qarnaïn. Dis : " Je vous ferai un récit à son sujet ".

[18:84]
Nous avions affermi sa puissance sur la terre et Nous lui avions ouvert un accès à toutes sortes de choses.

[18:85]
Il se mit donc en route

[18:86]
jusqu'à ce qu'il atteigne le couchant. Il vit alors le soleil se coucher dans une source bouillante auprès de laquelle se trouvait un peuple. Nous lui dîmes : " O Dhou al- Qarnaïn ! Tu peux, ou bien châtier ces gens, ou te montrer bienveillant envers eux ".

[18:87]
Il répondit : " Pour celui qui s'est montré inique, nous le punirons, après quoi il sera ramené à son Seigneur qui lui infligera un châtiment sévère.

[18:88]
Quant à celui qui croit et fait le bien, il lui sera accordé une très belle récompense, et les ordres que nous lui donnerons seront faciles à exécuter ".

[18:89]
Puis il poursuivit sa route

[18:90]
jusqu'à ce qu'il atteigne le levant. Il vit alors le soleil se lever sur un peuple auquel Nous n'avions pas donné de couvert pour s'en protéger.

[18:91]
Il en fut ainsi, et rien ne Nous échappe de ce qui le concerne.

[18:92]
Ensuite il poursuivit sa route

[18:93]
jusqu'à ce qu'il atteigne un pays où, entre deux barrières montagneuses, il trouva un peuple qui comprenait à peine une parole.

[18:94]
Ces gens dirent : " O Dhou al-Qarnaïn ! Gog et Magog sèment la corruption sur la terre. Pouvons-nous te payer un tribut pour que tu construises une barrière entre nous et eux ? "

[18:95]
Il dit : " Le pouvoir que mon Seigneur m'a accordé est meilleur [qu'un tribut]. Aidezmoi donc avec vigueur, et j'établirai un rempart entre vous et eux.

[18:96]
Apportez-moi des blocs de fer ! " Lorsque l'espace compris entre les deux montagnes eut été comblé, il dit : " Soufflez ! " Et lorsque le fer eut été porté au rouge, il dit encore : " Apportez-moi de l'airain fondu, que je le verse dessus ".

[18:97]
Gog et Magog ne purent ni escalader le rempart ni le percer.

[18:98]
Il dit : " Cet ouvrage est une miséricorde venue de mon Seigneur ! Quand s'accomplira la promesse de mon Seigneur, Il le rasera. La promesse de mon Seigneur est véridique ! "

[18:99]
Ce Jour-là, Nous laisserons certains hommes déferler sur d'autres, et il sera soufflé dans la trompette. Alors, Nous les rassemblerons tous.

[18:100]
Ce Jour-là, Nous placerons la Géhenne bien en évidence devant les mécréants,

[18:101]
ceux-là même dont les yeux étaient bandés devant Mon rappel et qui ne pouvaient supporter de l'entendre.

[18:102]
Les mécréants pensent-ils pouvoir prendre Mes serviteurs pour protecteurs en dehors de Moi ? Certes, Nous avons préparé la Géhenne pour être la demeure des mécréants.

[18:103]
Dis : " Vous ferai-je connaître ceux qui perdent le plus du fait de leurs œuvres,

[18:104]
ceux dont l'effort s'égare dans la vie de ce monde alors qu'ils pensent œuvrer en bien ? "

[18:105]
Tels sont ceux qui ne croient pas aux signes de leur Seigneur et à Sa rencontre. Leurs actions sont en pure perte et Nous ne leur attribuerons aucun poids au Jour de la Résurrection.

[18:106]
Leur rétribution sera la Géhenne, parce qu'ils ont mécru et qu'ils ont tourné en dérision Mes signes et Mes envoyés.

[18:107]
Certes, ceux qui auront cru et qui auront accompli les œuvres pies auront pour demeure les jardins du Paradis.

[18:108]
Ils y demeureront à jamais sans désirer aucun changement.

[18:109]
Dis : " Si la mer était de l'encre pour [écrire] les paroles de mon Seigneur, la mer se tarirait avant que ne tarissent les paroles de mon Seigneur, quand bien même Nous lui viendrions en aide avec une même quantité d'encre ".

[18:110]
Dis : " Je ne suis qu'un mortel semblable à vous. Il m'est révélé que votre Dieu est un Dieu unique. Que celui qui espère la rencontre de son Seigneur accomplisse de bonnes actions et qu'il n'associe personne dans l'adoration de son Seigneur ".


* v. 9-26 : la légende des Sept Dormants, déjà connue avec de nombreuses variantes dans la tradition rabbinique et chrétienne, reçoit une nouvelle consécration avec le récit coranique. Le plus souvent localisée à
Ephèse, une caverne dite des “Ahl al-Kahf ” est aussi visitée comme un des lieux sacrés du Djebel Qassioun, à Damas, où un rocher en forme de chien est assimilé, dans l’imagination populaire, à Al-Raqîm, le chien qui gardait les Dormants. Selon une autre croyance, Al-Raqîm désigne une dalle funéraire située à l’entrée de la caverne, mais depuis longtemps disparue, sur laquelle étaient gravés les noms des sept jeunes gens.

* v. 14 : selon certains commentateurs, le Prince régnant aurait été Décianus (ou Décius).

* v. 60 : il s’agirait de Nun, père de Josué (ap. Josué, 1)



* v .65 : ce mystérieux “serviteur de Dieu” n’est autre que Al-Khidr (Al-Khadir), dont le nom évoque la couleur verte. Immortel jouvenceau, doué d’une nature à la fois angélique et humaine, il a reçu le pouvoir d’intervenir sur terre pour protéger ceux qui l’invoquent contre de graves dangers et pour encourager des chercheurs de Dieu dans leur quête spirituelle.
* v. 83 : “Le Possesseur des deux cornes” est le nom sous lequel Alexandre-le-Grand est connu dans la tradition arabe.

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Saul (Paul) The Founder Of Christianity

‏‎Esa/Eshoa-Jesus a Prophet of Allah/The One God‎‏ مع ‏‎Mitha Arya‎‏ و‏‎Sahira Banu‎‏.
Saul (Paul) The Founder Of Christianity
Eshoa (Jesus) VS Saul (Paul)
If anyone has read the New Testament one would see a clear difference between the teachings of Eshoa (Jesus) and the supposed apostle Saul(Paul). For instance when a man went up to Eshoa (Jesus) asking how to be saved, Eshoa (Jesus) gave the following response:
As Eshoa (Jesus) started on his way, a man ran up to him and fell on his knees before him. "Good teacher," he asked, "what must I do to inherit eternal life?" "Why do you call me good?" Eshoa (Jesus) answered. "No one is good? except God alone. You know the commandments: 'Do not murder, do not commit adultery, do not steal, do not give false testimony, do not defraud, honor your father and mother." "Teacher," he declared, "all these I have kept since I was a boy." Eshoa (Jesus) looked at him and loved him. "One thing you lack," he said. "Go, sell everything you have and give to the poor, and you will have treasure in heaven. Then come, follow me." (Mark 10:17-21)
https://www.facebook.com/media/set/…
So according to Eshoa (Jesus) - pbuh the way to be saved is by following the commandments, and to follow Jesus as well, obviously a true believer at the time had to follow Eshoa (Jesus) - pbuh, as he was a prophet, and God's representative, one couldn't just follow the commandments while rejecting the prophets, it would be like a submitter only to the Creator in peace ('Muslim') who follows the law ('sharia') and rejects Muhammad (pbuh) as a prophet!
Eshoa (Jesus) - pbuh also taught his followers that he did not come to break the law ('sharia'):
Do not think that I have come to abolish the Law or the Prophets; I have not come to abolish them but to fulfill them (Matthew 5:17)
So Eshoa (Jesus) - pbuh taught his people to follow the law('sharia'), and he also said that his mission wasn't to abolish the law ('sharia'), in other words the law ('sharia') was still applicable and to be followed.
Now what did Saul (Paul) teach about this matter, did he teach that the law ('sharia') must be followed, and did he teach that he didn't come to abolish the law('sharia')? Well, let us see what he says:
Know that a man is not justified by observing the law, but by faith in Eshoa The Messiah (Jesus Christ). So we, too, have put our faith in The Messiah Eshoa (Christ Jesus) that we may be justified by faith in Christ and not by observing the law, because by observing the law no one will be justified. (Galatians 2:16)
But by faith we eagerly await through the Spirit the righteousness for which we hope. For in The Messiah Eshoa (Christ Jesus) neither circumcision nor uncircumcision has any value.The only thing that counts is faith expressing itself through love. (Galatians 5:5-6)
Therefore, since we have been justified through faith, we have peace with God through our Lord Eshoa The Messiah (Jesus Christ)_ (Romans 5:1)
Saul (Paul) even goes as far as saying that the law was weak and powerless:
For what the law was powerless to do in that it was weakened by the sinful nature, God did by sending his own Son in the likeness of sinful man to be a sin offering. And so he condemned sin in sinful man (Romans 8:3)
So according to Saul (Paul) salvation is not attained through following the law, or by doing righteous works, rather salvation is attained by faith.
So this is what we have, according to Eshoa (Jesus):
- Follow the Law ('sharia')
-The Law isn't abolished or destroyed
- Keep the commandments
According to Saul (Paul):
-No need for the Law
-The Law is Weak
-The Law cannot save you
-Faith can only save you
Ask yourself this, if the very same man who went and asked Eshoa (Jesus) about salvation and later went to Saul (Paul) and asked the same question, would he get the same answer? The answer is quite obvious, Saul (Paul) would give a completely different reply to that of Eshoa (Jesus), and the above verses prove it, Eshoa (Jesus) said follow the Law('sharia'), Saul (Paul) said no need for the Law('sharia'); it's all about the faith, a completely different response to that of Eshoa (Jesus), an innovation by the anti-Messiah/christ Saul (Paul).
Saul's (Paul's) dreams, however, have broken commandments right and left. There is so much of what Eshoa (Jesus) did during his lifetime that his followers have now totally neglected, not because Eshoa (Jesus) told them to break the commandments, but because Saul (Paul) would later tell them to break them upon the authority of the visions he was receiving.
"For though I am free from all men, I have made myself a slave to all, that I might win the more. To the Jews I became as a Jew, in order to win Jews; to those under the law I became as one under the law - though not being myself under the law - that I might win those under the law. To those outside the law I became as one outside the law - not being without law toward God but under the law of Christ - that I might win those outside the law. To the weak I became weak, that I might win the weak. I have become all things to all men, that I might by all means save some. I do it all for the sake of the gospel, that I may share in its blessings." (I Corinthians. 9:19-25)
>> Eshoa [Jesus] Son of Mary - The Oneness of God & Early Followers
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>> Jesus Never Called or Said Convert People To Christianity !! _ Mark Siljander
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Shaking hands with a non-mahram woman

Shaking hands with a non-mahram woman
Praise be to Allaah.
Firstly:
It is not permissible for a man who believes in Allaah and His Messenger to put his hand in the hand of a women who is not permissible for him or who is not one of his mahrams. Whoever does that has wronged himself (i.e., sinned).
It was narrated that Ma’qil ibn Yassaar said: the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) said: “For one of you to be stabbed in the head with an iron needle is better for him than that he should touch a woman who is not permissible for him.”
Narrated by al-Tabaraani in al-Kabeer, 486. Shaykh al-Albaani said in Saheeh al-Jaami’, 5045, that this hadeeth is saheeh.
This hadeeth alone is sufficient to deter and to instill the obedience required of us by Allaah, because it implies that touching women may lead to temptation and immorality.
It was narrated that ‘Aa’ishah the wife of the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) said: “When the believing women migrated to the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him), they would be tested in accordance with the words of Allaah (interpretation of the meaning):
‘O Prophet! When believing women come to you to give you the Bay‘ah (pledge), that they will not associate anything in worship with Allaah, that they will not steal, that they will not commit illegal sexual intercourse’
[al-Mumtahanah 60:12]
‘Aa’ishah said: Whoever among the believing women agreed to that had passed the test, and when the women agreed to that, the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) said to them: “Go, for you have given your oath of allegiance.’ No, by Allaah, the hand of the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) never touched the hand of any woman, rather they would give their oath of allegiance with words only.” And ‘Aa’ishah said: “By Allaah, the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) only took the oath of allegiance from the women in the manner prescribed by Allaah, and the hand of the Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) never touched the hand of any woman. When he had taken their oath of allegiance he would say, ‘I have accepted your oath of allegiance verbally.’”
(narrated by Muslim, 1866)
It was narrated from ‘Urwah that ‘Aa’ishah told him about the women’s oath of allegiance: “The Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) never touched any woman with his hand. He would explain to the woman what the oath of allegiance implied, and when she accepted, he would say ‘Go, for you have given your oath of allegiance.’”
Narrated by Muslim, 1866
This infallible one, the best of mankind, the leader of the sons of Adam on the Day of Resurrection, did not touch women. This is despite the fact that the oath of allegiance was originally given by hand. So how about men other than the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him)?
It was narrated that Umaymah the daughter of Raqeeqah said: The Messenger of Allaah (peace and blessings of Allaah be upon him) said, “I do not shake hands with women.”
Narrated by al-Nasaa’i (4181) and Ibn Maajah, 2874; classed as saheeh by al-Albaani in Saheeh al-Jaami’, 2513.
Secondly:
It is not permissible to shake hands even with a barrier in between, such as shaking hands from beneath a garment and the like. The hadeeth that was narrated allowing that is da’eef (weak).
It was narrated from Ma’qal ibn Yassaar that the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) used to shake hands with women from beneath a garment.”
Narrated by al-Tabaraani in al-Awsat, 2855.
Al-Haythami said:
This was narrated by al-Tabaraani in al-Kabeer and al-Awsat. Its isnaad includes ‘Ataab ibn Harb, who is da’eef (weak).
Majma’ al-Zawaa’id, 6/39.
Wali al-Deen al-‘Iraaqi said:
The words of ‘Aa’ishah, “He used to accept the women’s oath of allegiance by words only” mean that he did so without taking their hands or shaking hands with them. This indicates that the bay’ah of men was accepted by taking their hands and shaking hands with them, as well as by words, and this is how it was. What ‘Aa’ishah mentioned was the custom.
Some of the mufassireen mentioned that the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) called for a vessel of water and dipped his hand in it, then the women dipped their hands in it. And some of them said that he did not shake hands with them from behind a barrier and had a Qatari cloak over his hand. And it was said that ‘Umar (may Allaah be pleased with him) shook hands with them on his behalf. None of these reports are sound, especially the last one, How could ‘Umar (may Allaah be pleased with him) have done something that the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him), who was ma’soom (infallible), would not do?
Tarh al-Tathreeb, 7/45
Shaykh Ibn Baaz (may Allaah have mercy on him) said:
The most correct view is that this (i.e., shaking hands with women from behind a barrier) is not allowed at all, because of the general meaning of the hadeeth, according to which the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) said, “I do not shake hands with women;” and so as to ward off the means that may lead to evil.
(Adapted from Hashiyat Majmoo’at Rasaa’il fi’l-Hijaab wa’l-Sufoor, p. 69)
The same ruling applies to shaking hands with old women; this is also haraam because of the general meaning of the texts on this issue. The reports that say it is permissible are da’eef (weak).
Al-Zayla’i said:
“As for the report that ‘Abu Bakr used to shake hands with old women, it is also ghareeb.”
(Nasab al-Raayah, 4/240)
Ibn Hajar said:
I cannot find this hadeeth.
(al-Diraayah fi Takhreej Ahaadeeth al-Hidaayah, 2/225)
Fourthly:
With regard to the views of the four imams, they are as follows:
1 – The Hanafi madhhab:
Ibn Nujaym said:
It is not permissible for a man to touch a woman’s face or hands even if there is no risk of desire because it is haraam in principle and there is no necessity that would allow it.
Al-Bahr al-Raa’iq, 8/219
2 – The Maaliki madhhab:
Muhammad ibn Ahmad (‘Ulaysh) said:
It is not permissible for a man to touch the face or hand of a non-mahram woman, and it is not permissible for him to put his hand on hers without a barrier. ‘Aa’ishah (may Allaah be pleased with her) said: “The Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) never accepted a woman’s oath of allegiance by shaking hands with her; rather he (peace and blessings of Allaah be upon him) used to accept their oath of allegiance by words only.” According to another report, “His hand never touched the hand of a woman, rather he would accept their oath of allegiance by words only.”
(Manh al-Jaleel Sharh Mukhtasar Khaleel, 1/223)
3 – The Shaafa’i madhhab:
Al-Nawawi said:
It is not permissible to touch a woman in any way.
Al-Majmoo’, 4/515.
Wali al-Deen al-‘Iraaqi said:
This indicates that the hand of the Prophet (peace and blessings of Allaah be upon him) did not touch the hand of any woman apart from his wives and concubines, whether in the case of accepting the oath of allegiance or in other cases. If he did not do that despite the fact that he was infallible and beyond suspicion, then it is even more essential that others heed this prohibition. It appears from the texts that he refrained from doing that because it was haraam for him to do so. The fuqaha’ among our companions and others said that it is haraam to touch a non-mahram woman even if that is not touching parts of her body that are not ‘awrah, such as her face. But they differed with regard to looking when there is no desire and no fear of fitnah. The prohibition on touching is stronger than the prohibition on looking, and it is haraam when there is no necessity that would allow it. If it is the case of necessity, e.g. medical treatment, removing a tooth or treating the eyes, etc., if there is no woman who can do that, then it is permissible for a non-mahram to do that because it is the case of necessity.
Tarh al-Tathreeb, 7/45, 46
4 – The Hanbali madhhab
Ibn Muflih said:
Abu ‘Abd-Allaah – i.e., Imam Ahmad – was asked about a man who shakes hands with a woman. He said, No, and was emphatic that it is haraam. I said, Should he shake hands with her from beneath his garment? He said, No.
Shaykh Taqiy al-Deen also favoured the view that it is prohibited, and gave the reason that touching is more serious than looking.
AlAdaab al-Shar’iyyah, 2/257
And Allaah knows best.
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